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Actividades 2011-2012 del Eje Civilizaciones Hispanicas dirigido por Almudena Delgado Larios y Edmond Raillard

En el curso 2011-2012, buy cialis el Eje Civilizaciones Hispanicas dedica su seminario a dos temas: 1) La memoria de los acontecimientos traumaticos, mind siglos XIX-XX 2) Las relaciones internacionales en el mundo hispanico (relaciones politicas, economicas, sociales, culturales, artisticas). CALENDARIO – Vendredi 25 novembre 2011 : Séminaire Dans le cadre des travaux sur La mémoire des évènements traumatisants (XIX-XX siècles)  interventions multiples des membres de l’Axe autour des principaux concepts (mémoire emblématique, traumatisme, etc). Plus particulièrement, Edmond Raillard aborde les concepts rencontrés dans l’étude du documentaire sur la mémoire des événements traumatisants ; Franck Gaudichaud évoque différents travaux théoriques sur la mémoire du passé historique au Chili. – Jeudi 2 février  2012 : Conférences Salle Jacques Cartier (ver documento especifico) – Vendredi 3 février 2012 : Journée d’études (ver documento especifico) Dans le cadre des travaux sur Les relations internationales dans le monde hispanique (relations politiques, économiques, sociales, culturelles, artistiques), Journée d’études sur « Frontières dans le monde hispanique », 9h-12h30, Salle Jacques Cartier  – Vendredi 24 février: Camille Lacau St Guily et Laurie-Anne Laget présentent leurs travaux de recherche – Vendredi 2 mars 2012 : Conférences Dans le cadre des travaux sur Les relations internationales dans le monde hispanique (relations politiques, économiques, sociales, culturelles, artistiques), 9h30-12h Salle Jacques Cartier, Conférences sur « Les relations artistiques de l’Espagne à l’époque moderne », Salle Jacques Cartier – Vendredi 9 mars 2012 : Séminaire Dans le cadre des travaux sur La mémoire des évènements traumatisants (XIX-XX siècles) : châtiment et impunité interventions multiples des membres de l’Axe sur la situation pays par pays concernant la problématique de l’impunité et des politiques institutionnelles de la mémoire ou de l’oubli.  Marita Ferraro présentera l’Argentine; Lauriane Bouvet l’Uruguay, Franck Gaudichaud le Chili, Sandrine Rol et Christian Demange l’Espagne au XX siècle, Edmond Raillard et Margarita Remón (le Mexique, l’Amérique Centrale ), Pierre Géal et Almudena Delgado l’Espagne au XIX siècle (afrancesados, carlistas, liberales). – Vendredi 30 mars 2012 : Séminaire Dans le cadre des travaux sur La mémoire des évènements traumatisants (XIX-XX siècles), Christian Demange exposera l’état de ses recherches sur la collection « Gregorio del Toro » portant sur « Memorias de la Guerra Civil ». – Vendredi 20 avril  2012: Séminaire Dans le cadre des travaux sur La mémoire des évènements traumatisants (XIX-XX siècles), Edmond Raillard et Olga Lobo feront des communications sur « Le cinéma documentaire et la mémoire ».  – Vendredi 1er juin : Séminaire Dans le cadre des travaux sur Les relations internationales dans le monde hispanique (relations politiques, économiques, sociales, culturelles, artistiques), interventions de Camille Lacau St Guily, Laurie-Anne Laget, Marta Ruiz Galbete, Véronique Jude et Almudena Delgado Larios sur « Les frontières dans le monde hispanique du Moyen Age à nos jours », travaux pour le numéro de ILCEA, le revue en ligne de l’équipe.

Almudena Delgado 14 febrero, 2012 14 febrero, 2012 América latina, España, memoria, relaciones internacionales, Seminario
Numero de la revista electronica ILCEA sobre Fronteras en el mundo hispanico

Textos de 40 000 caracteres espacios incluidos, see en español o en francés, sovaldi sale a enviar para el 10 de agosto fecha limite. Ponerse en contacto con Almudena Delgado previamente. La revista ILCEA -en formato electronico- figura en el sitio revues.org y es la revista del equipo ILCEA. Los articulos son sometidos a una doble relectura a ciegas antes de ser publicados. “À l’ère de la mondialisation, unhealthy alors que les informations, les biens ou les personnes circulent de plus en plus librement à une échelle globale, on pourrait croire que le concept de frontière a perdu beaucoup de sa pertinence. S’il est vrai que les frontières des Etats-nations ont été durablement tracées tout au long du XIXème siècle et que l’on s’attache désormais davantage à les brouiller dans des cadres économiques, politiques ou stratégiques supranationaux qu’à essayer de les questionner, un certain nombre de conflits territoriaux persiste néanmoins dans le monde hispanique (Chili-Bolivie, Venezuela-République de Guyana, Chili-Pérou, Malouines, Guatemala-Belice). Par ailleurs, alors que les grandes frontières globales liées à des clivages de type idéologique (Est-Ouest) ou économique (Nord-Sud) qui présidèrent aux analyses géostratégiques du monde contemporain ont désormais perdu de leur mordant, de nouveaux conflits civilisationnels ont émergé impliquant un questionnement nouveau du concept de frontière.  Nous nous proposons, dans ce numéro des Cahiers de l’ILCEA  d’interroger l’idée de frontière dans le monde hispanique du Moyen Âge à nos jours. Des frontières territoriales, aux politico-idéologiques, en passant par les frontières culturelles ou purement linguistiques, il s’agira tout d’abord de définir et décliner le concept dans toute sa richesse pour illustrer ensuite les différentes dynamiques créées autour de ces lignes de démarcation physiques, identitaires ou mentales. Dans la dialectique de la construction / abolition des frontières, quels sont les enjeux, les procédés et les forces mis en œuvre dans les cas analysés ? Comment les idées et les savoirs traversent-ils les frontières et sont-ils transformés ou réinventés lors de leur transfert? Pourquoi la frontière a-t-elle pu apparaître pour certains comme hermétique, une solution de continuité entre les pays? Et de quelle manière les idéologies créent-elles de véritables bastions territoriaux face à des ennemis extérieurs?  Ainsi, dans le monde hispanique toujours marqué par les enjeux de la frontière, comment a-t-on conceptualisé et représenté la frontière, les conflits nationaux ou les identités des territoires frontaliers ? Si la frontière n’est qu’une ligne imaginaire séparant deux territoires, quelles sont en fin de compte les raisons de les tracer et les effets de les traverser ?”

Almudena Delgado 14 febrero, 2012 14 febrero, 2012 fronteras en el mundo hispanico, revista ILCEA
Jornadas Fronteras en el mundo hispanico

En el marco de los trabajos del eje Civilizaciones Hispanicas relativos a Las relaciones internacionales en el mundo hispanico (relaciones politicas, click economicas, capsule sociales, culturales, artisticas), se ha celebrado la Jornada de Estudios sobre “Fronteras en el mundo hispanico”, el viernes 3 de febrero en Grenoble, Sala Jacques Cartier, con las siguientes conferencias:  Emilio SOLA (Université Alcalá de Henares, Espagne),  “Literatura de avisos e información: por una tipología de una literatura de la frontera”  Partiendo de una concepción de la frontera más cualitativa que la meramente geográfico-político-jurídica tradicional, se puede entender mejor las figuras de los viajeros, exiliados o refugiados, tornadizos o emigrados, administradores y espías y sus testimonios literarios de la realidad que vivieron y lograron narrar; una interesante literatura de la frontera que desde mi punto de vista constituye uno de los mayores legados del Siglo de Oro hispano. En un porcentaje altísimo, esos textos permanecieron inéditos durante mucho tiempo, siglos incluso. Tanto en conjunto, como en fragmentos particulares, de gran altura y belleza literaria. Ignacio RUIZ RODRIGUEZ (Universidad Rey Juan Carlos, Madrid, Espagne), Las ultimas exploraciones españolas en la América septentrional del Pacifico Resulta curioso analizar el origen directo de las exploraciones que realizara la Monarquía Hispánica, en la costa septentrional del Pacífico en la segunda mitad del siglo XVIII. Atrás quedaban las aisladas expediciones que se habían realizado en épocas pretéritas, algunas de ellas ya prácticamente en el olvido, a la búsqueda permanente del Paso del Noroeste. Con un vigor prácticamente en desuso, las importantes e inquietantes noticias de la posible presencia de los rusos en aquellas se convirtieron en el más firme elemento para la puesta en marcha de aquellas expediciones, y con ello la erección de nuevas e importantes localidades de frontera, confeccionándose y rediseñándose las cartas marinas y geográficas de un importante segmento del Continente Americano que todavía estaba por descubrir.  Francisco Javier RODRIGUEZ BARRANCO (Université  Alcalá de Henares, Espagne),  “Creación de una frontera literaria: Perspectivismo y contradicción en las “Cartas Marruecas” de José Cadalso”  ¿Para qué sirve la literatura? Y acaso pudiéramos responder con otra pregunta, al galaico modo: ¿Hemos de buscar una función a la literatura? Para contestar a lo cual hay casi tantas posibilidades como escritores, pero es evidente que dentro de la perspectiva positivista que caracterizó al siglo XVIII, a la literatura se le buscó un fin de utilidad pública. No de otro modo hemos de entender las Cartas marruecas, terminadas en 1774 por José Cadalso, que tomó como referentes las Cartas Persianas, Turcas o Chinas, de allende los Pirineos, escritas las primeras por Montesquieu en 1721; corresponden quizá las segundas a Cartas de un turco en París (1731) atribuidas a Poullain de Saint-Foix; y las chinescas quizá sean las de Jean Baptiste d’Argens (1739-1740) o las de Oliver Goldsmith (1760). Lo que verdaderamente interesa a los fines de este ensayo es que no se trata de un viajero extranjero opinando sobre los países que recorre, como hicieron los viajeros románticos, por ejemplo, sino que los autores recién mencionados se valen de unas fronteras políticas y culturales, para crear la ficción de un ciudadano oriental opinando sobre un país europeo. Con otras palabras, estamos asistiendo a una frontera inventada o a la creación de una frontera literaria, puesto que detrás de estos marroquís, persas, turcos o chinos se halla la voz del autor. Todo eso sin olvidar que ya de por sí el epistolar es un género fronterizo entre la narrativa y el ensayo.  Laura MASSIMINO AMORESANO (Centro Europeo para la Difusión de las Ciencias Sociales),  “Archivo de la Frontera. Una experiencia educativa basada en el empleo de fuentes primarias y TIC’S” El Archivo de la Frontera es una Comunidad Histórica Virtual cuyo objetivo es la difusión del patrimonio histórico y favorecer el acceso a las fuentes primarias por parte de profesores, investigadores y alumnos. En esta ponencia presentaremos la nueva versión del Archivo, incluidas las herramientas colaborativas que favorecen la investigación y el trabajo en el Aula, así como la experiencia educativa llevada a cabo con alumnos de la Universidad de Alcalá a través del Juego del Legajo, una metodología didáctica para la enseñanza de la historia mediante el empleo de fuentes primarias y TIC’S.

Almudena Delgado 3 febrero, 2012 14 febrero, 2012 América, cartografia, España, exploraciones, frontera literaria, fronteras, literatura de avisos, siglos XVI-XVIII
Texto de presentacion, en francés, del II Coloquio Internacional Las Cicatrices en la Historia: fronteras, migraciones y desplazamientos que se celebrara en Grenoble, Francia en marzo de 2013

Ir a la pagina http://w3.u-grenoble3.fr/ilcea/spip/spip.php?rubrique50 El plazo de presentacion de comunicaciones ha terminado. Colgué la informacion en el grupo Frontera global pero me parece que no funciono! Solo puedo aceptar dos o tres propuestas mas de aqui al 8 de diciembre. II COLLOQUE INTERNATIONAL « Les cicatrices dans l’Histoire : frontières, cialis migrations et déplacements » Grenoble 27-29 mars 2013 Institut des Langues et des Cultures d’Europe et d’Amérique (ILCEA EA 613) Université Stendhal Grenoble 3-Région Rhône Alpes-ARC 7 et 8   Le IIè Colloque International « Les cicatrices dans l’Histoire : frontières, site migrations et déplacements », Grenoble, 27, 28 et 29 mars 2013, s’inscrit dans la continuité des travaux menés lors du colloque organisé en Colombie par l’Institut de Développement Pédagogique (Bogota, 21-23 septembre 2011) sur cette même problématique et qui a compté avec la participation d’une quarantaine de chercheurs. De nos jours, les migrants et les déplacés, victimes de conflits internes et/ou régionaux, sont devenus un problème pour les Etats et dans un monde « globalisé » et « ouvert » (qui redéfinit et redessine à son tour les frontières), des restrictions de plus en plus nombreuses sont imposées à la mobilité, à l’emploi, à l’accès aux services basiques et aux droits fondamentaux de ces populations. Les Etats construisent des « murs » physiques et des frontières de toute sorte. D’autre part, on assiste à d’importants exodes de population fuyant la violence ou recherchant une vie meilleure. Migrations et frontières sont devenues un enjeu politique et sociétal. Ainsi que l’énonce la maxime, « la violence est l’accoucheuse de l’histoire », une violence dont, de fait, les territoires, mais aussi les groupes ethniques et sociaux portent les stigmates qui, telles des cicatrices, impriment leur marque sur les relations politiques et sociales, et dont certaines pratiques culturelles peuvent manifester la trace, notamment dans la représentation du passé. Les exemples de ces cicatrices abondent dans l’histoire du monde hispanique, du Moyen Âge à nos jours, depuis la création des États et l’établissement de nouvelles frontières — parfois vécues comme cicatrices territoriales rappelant que l’histoire (et les cartes) sont toujours écrites ou redistribuées par les vainqueurs —, jusqu’aux conflits sources de disruptions violentes ou douloureuses dans la vie de certaines communautés nationales, de groupes ethniques ou de segments sociaux, en passant par la mémoire souvent cuisante de certains processus historiques, d’enclavements idéologiques et culturels ou d’expériences douloureuses d’un passage physique ou figuré entre un « dedans » et un « dehors ». Néanmoins, les frontières, qu’elles soient territoriales, idéologiques, socio-culturelles ou anthropologiques, ne constituent pas uniquement des lieux de fracture ou de rupture indépassables. Matérielles ou symboliques, elles peuvent aussi devenir des espaces propices aux refondations, aux échanges, aux phénomènes de métissage et de migrations plus ou moins complexes, au dépassement de l’hétérogénéité. L’objectif de ce colloque international sera donc de réfléchir sur les conflits qui, autour des idées de frontière, de migration et de déplacement, ont marqué l’Espagne et l’Amérique latine du XVe au XXIe siècle. Ainsi, de l’histoire des relations internationales à l’histoire sociale et des idées, nous nous interrogerons sur ces lignes de conflit, sur leur inscription « dans la chair » des différentes disciplines abordées, ainsi que sur leurs conséquences durables ou sur la description de leurs effets. Le premier colloque organisé en Colombie était plus particulièrement centré sur la problématique des migrations et surtout des déplacements forcés de populations à l’époque contemporaine dans le monde hispanique, avec néanmoins quelques approches comparatistes. A Grenoble, l’objectif est d’interroger les concepts –frontière, migrations, transferts-, d’établir des typologies, et surtout de mener des analyses comparatives entre l’espace hispanique et d’autres espaces (anglo-saxon, germanique, slave, italien). Il s’agit également d’analyser les impacts politiques, économiques, sociaux, culturels et identitaires des modifications des frontières et des migrations, qu’elles soient forcées ou pas. Nous souhaitons des contributions portant aussi bien sur l’Europe que les Amériques (les analyses comparatives seraient appréciées) et dont la thématique s’inscrive dans l’un des axes suivants : AXES THÉMATIQUES : • Typologie des frontières (territoriales, politico-administratives, idéologiques, linguistiques, culturelles, visibles, invisibles) et processus de construction, reconstruction, déconstruction des frontières en Europe et aux Amériques. • Typologie des migrations et des déplacements (volontaires, forcés, économiques, politiques, etc) et enjeux sociétaux en Europe et aux Amériques. • Impacts des migrations et des déplacements sur les territoires (exode rural, phénomènes de métropolisation, déséquilibres territoriaux, etc). • Frontières, migrations, transferts culturels, constructions identitaires et mémorielles. • Représentations et imaginaires des frontières, des migrations et des déplacements. Date limite d’envoi des propositions de communication : 23 Novembre 2012 Propositions de communications : De 5 000 signes maximum, elles seront envoyées sous forme électronique à l’adresse suivante : Almudena.Delgado-Larios@u-grenoble3.fr Merci d’indiquer vos nom, prénom, statut, institution et coordonnées, ainsi qu’une brève notice bio-biobliographique. Les auteurs seront informés de l’acceptation ou du rejet de leur proposition au plus tard le 7 janvier 2013. Langues du colloque : espagnol et français Inscription : 50 euros COMITÉ D’ORGANISATION Almudena Delgado Larios- Professeur Almudena.Delgado-Larios@u-grenoble3.fr Camille Lacau Saint Guily, MCF camille_lsg@hotmail.com Véronique Jude, MCF, veronique.jude@u-grenoble3.fr

Almudena Delgado 3 diciembre, 2012 3 diciembre, 2012 desplazamientos, Europa y América, exilios, fronteras, identidades, memorias y representaciones, migraciones
Conferencias sobre Las relaciones artisticas de España en la Edad Moderna

Siguiendo este enlace encontraréis toda la informacion sobre las dos conferencias que tendran lugar el viernes 2 de marzo en la Universidad Stendhal-Grenoble 3 sobre los escritos de arte de El Greco y sobre las bibliotecas de artistas en la Edad Moderna: http://w3.u-grenoble3.fr/ilcea/spip/spip.php?article180  

Almudena Delgado 28 febrero, 2012 28 febrero, 2012
Ensayo de Sola sobre los “que van y vienen”

Para citarlo: Emilio Sola Castaño, sovaldi Los que van y vienen. Marinos, patient espías y rescatadores de cautivos en la frontera mediterránea, help in Pedro García Martín, Emilio Sola Castaño y Germán Vázquez Chamorro, Renegados, viajeros y tránsfugas. Comportamientos heterodoxos y de frontera en el siglo XVI, Madrid 2000, pp. 63-69.

Gennaro Varriale 22 febrero, 2016 22 febrero, 2016
N. Zemon Davis, El retorno de Martín Guerre

Para citarlo: Natalie Zemon Davis, search El retorno de Martin Guerre, Madrid 1983.

Gennaro Varriale 25 febrero, 2016 25 febrero, 2016
Ensayo de Sola sobre los “que van y vienen”

Para citarlo, cheap Emilio Sola Castaño, Los que van y vienen. Marinos, espías y rescatadores de cautivos en la frontera mediterránea, en Pedro García Martín, Emilio Sola Castaño y Germán Vázquez Chamorro, Renegados, viajeros y tránsfugas. Comportamientos heterodoxos y de frontera en el siglo XVI, Madrid 2000, pp. 63-69.   Archivos Adjuntos Sola_van-y-vienen (6 MB)

Gennaro Varriale 25 febrero, 2016 25 febrero, 2016
Giovanni Levi, Sobre Microhistoria

Para citarlo: Giovanni Levi, view Sobre Microhistoria, health in Peter Burke (ed.), Formas de hacer Historia, Madrid 1993, pp. 119-143.  

Gennaro Varriale 25 febrero, 2016 25 febrero, 2016
“VIAJE A ORIENTE” 012

II. Las esclavas – II. El señor Jean…   El señor Jean es un resto glorioso de nuestra armada en Egipto. Fue uno de los treintaitrés franceses que se pasaron al servicio de los mamelucos tras la retirada de la expedición. Durante muchos años tuvo, sovaldi sale al igual que los otros, shop un palacio, mujeres, caballos, esclavos: en la época de la disgregación de esta poderosa milicia, él fue jubilado como francés; pero al pasar a la vida civil, sus riquezas se fundieron poco a poco. Pensó en vender al público vino, algo entonces nuevo en Egipto, en donde cristianos y judíos sólo se embriagaban con aguardiente de arak, y con una especie de cerveza llamada bouza. Desde entonces, los vinos de Malta, Siria y el archipiélago, hicieron la competencia a los espirituosos, y los musulmanes de El Cairo no parecieron ofenderse por esta innovación. El señor Jean admiró la resolución que yo había tomado de escapar de la vida de los hoteles; pero me dijo: usted va a tener dificultades para montar una casa. En El Cairo hay que tomar tantos criados como necesidades diferentes se precisen. Cada cual tiene como prurito no hacer más que una sola cosa, y además, son tan perezosos, que ni siquiera se sabe a ciencia cierta si  esa dedicación exclusiva no sea calculada. Cualquier detalle complicado les fatiga o se les escapa, e incluso la mayoría le abandonarán en cuanto hayan ganado suficiente para pasar unos cuantos días sin hacer nada.  “Entonces, ¿cómo hacen los del país? –                     ¡Ah!, les dejan actuar a su aire, y cogen a dos o tres personas para cada menester. De cualquier modo, un efendi, siempre lleva con él a su secretario (KHATIBECSIR), a un tesorero (KHAZINDAR) a su portador de pipa (TCHIBOUKJI) al SELIKDAR que le lleva las armas, al SERADJBACHI para cuidar de su caballo, al KAHWEDJI-BACHI para hacerle un café allá donde se detenga, sin contar a los YAMAKS para ayudar a todo el mundo. En casa, se necesita aún más servicio, ya que el portero no consentirá en ocuparse de las estancias, ni el cocinero de hacer el café, incluso necesitará un aguador a sus expensas. Bien es cierto que distribuyéndoles una piastra y media, unos veinticinco a treinta céntimos al día, usted será contemplado por esos inútiles como un patrón opulento. –                     ¡Estupendo!, dije, ese precio queda aún lejos de las sesenta piastras que hay que pagar todos los días en los hoteles. –                     Pero es una complicación que no puede aguantar ningún europeo. –                     Voy a intentarlo, así aprenderé. –                     Le van a cocinar una comida abominable. –                     Así conoceré los platos del país. –                     Tendrá que abrir un libro de cuentas y discutir el precio de todo. –                     Eso me ayudará a aprender la lengua. –                     Inténtelo usted, yo por mi parte, le enviaré a los más honestos, y usted escoja. –                     ¿Es que son muy ladrones? –                     Raterillos todo lo más, me dijo el viejo soldado, recordando la jerga militar: ¡ladrones!, los egipcios… no tienen el valor suficiente.” En general, me da la impresión de que este pobre pueblo de Egipto es excesivamente despreciado por los europeos. El franco de El Cairo, que hoy en día comparte los privilegios de la raza turca, hereda también sus prejuicios. Esta gente es pobre, sin duda, ignorante, y la vieja costumbre de la esclavitud les mantiene en una especie de abyección. Son más soñadores que activos, y más inteligentes que industriosos; pero yo los considero buenos y de un carácter análogo al de los hindúes, que quizá se deba a su alimentación, casi exclusivamente vegetariana. Nosotros los que nos alimentamos de carne, respetamos más al tártaro y al beduino, nuestros iguales, y estamos dispuestos a abusar de nuestra energía a expensas de las poblaciones mansas. Después de dejar al señor Jean, atravesé la plaza de El-Esbekieh, para llegar hasta el hotel Domergue, un vasto campo situado entre la muralla de la ciudad y la primera línea de casas del barrio copto y del barrio franco. Hay muchos palacios y hoteles espléndidos. Sobre todo destaca la casa en que fue asesinado Cléber, y la mansión en donde se celebraban las reuniones del Instituto Egipcio. Un pequeño bloque de sicomoros y de higueras del faraón, son vestigios de la época de Bonaparte, que los hizo plantar. Durante el periodo de inundación, toda esta plaza se cubre de agua y la surcan canoas y barquichuelas pintadas y doradas, pertenecientes a los propietarios de las casas vecinas. Esta transformación anual de una plaza pública en lago de placer, no evita el que se tracen jardines, y se excaven canales en los períodos de sequía. Allí he contemplado a un buen número de fellahs abriendo una zanja. Los hombres cavaban la tierra, y las mujeres desescombraban transportando la pesada carga en cestones hechos de paja de arroz. Entre estas mujeres había muchas jovencitas, unas con camisolas azules, y otras, las de menos de ocho años, enteramente desnudas, tal y como se las puede ver, por lo demás, en las aldeas de las márgenes del Nilo. Inspectores provistos de un bastón supervisan el trabajo, y golpean de vez en cuando a los menos activos. Toda la cuadrilla estaba bajo la dirección de una especie de militar, tocado con un tarbouche, calzado con unas fuertes botas con espuelas, ceñido de un sable de caballería, y con una fusta de piel de hipopótamo trenzada en la mano. Esta última se dirigía hacia las nobles espaldas de los inspectores, al igual que el bastón de estos se encaminaba hacia las espaldas de los fellahs.  El vigilante, al verme allí parado mirando a las pobres muchachas encorvadas bajo los canastos de tierra, se dirigió a mí en francés. Se trataba de nuevo, de un compatriota. Ni se le había pasado por la cabeza enternecerse por los bastonazos distribuidos a los hombres, bastante flojos, dicho sea de paso. África piensa de forma diferente a nosotros en este punto. Pero ¿por qué –dije- hacer trabajar a esas mujeres y a esos niños?. –         No se les fuerza a hacerlo, me dijo el inspector francés; son sus padres o sus maridos quienes prefieren hacerles trabajar sin perderles de vista, que dejarles solos en la ciudad. Luego se les paga de 20 paras a 1 piastra, según su fuerza. Una piastra (25 céntimos) es en general, el precio de la jornada de un hombre. –         Entonces, ¿por qué hay algunos que están encadenados?, ¿son forzados?. –         Son maleantes que prefieren pasar el tiempo durmiendo o escuchando historias en los cafetines que siendo útiles. –         Y en ese caso, ¿de qué viven? –         ¡Aquí se vive con tan poca cosa! En caso de necesidad, ¿no encontrarán siempre fruta o verdura que robar en los campos?. El Gobierno encuentra enormes dificultades para hacer ejecutar los trabajos más necesarios, pero cuando es absolutamente indispensable, las tropas asedian un barrio o cortan una calle, se detiene a la gente que pasa y nos los traen. Y así son las cosas. –         ¡Cómo!¿todo el mundo sin excepción? –         ¡Claro! Todo el mundo, sin embargo, una vez detenidos, cada uno se explica. Los Turcos y los Francos se identifican. Entre los otros, los que tienen dinero, se liberan de las labores, muchos de ellos son rescatados por sus señores o patrones. El resto, forma brigadas y trabaja durante unas semanas o algunos meses, según la importancia del trabajo que se vaya a ejecutar. ¿Qué decir de todo esto?. Egipto está aún en la Edad Media. Estas prestaciones se hacen mientras tanto en beneficio de los beys mamelucos. El Pachá es hoy en día el único soberano; la caída de los mamelucos ha suprimido tan solo la servidumbre individual, pero eso es todo.

Esmeralda de Luis y Martínez 7 febrero, 2012 7 febrero, 2012 Bonaparte, Cléber, el señor Jean, Kahwedji-bachi, Khatibecsir, Khazindar, Las esclavas, los mamelucos, Selikdar, Seradjbachi, Tchiboukji, Yamaks
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