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Texto de presentacion, en francés, del II Coloquio Internacional Las Cicatrices en la Historia: fronteras, migraciones y desplazamientos que se celebrara en Grenoble, Francia en marzo de 2013

Ir a la pagina http://w3.u-grenoble3.fr/ilcea/spip/spip.php?rubrique50 El plazo de presentacion de comunicaciones ha terminado. Colgué la informacion en el grupo Frontera global pero me parece que no funciono! Solo puedo aceptar dos o tres propuestas mas de aqui al 8 de diciembre. II COLLOQUE INTERNATIONAL « Les cicatrices dans l’Histoire : frontières, cialis migrations et déplacements » Grenoble 27-29 mars 2013 Institut des Langues et des Cultures d’Europe et d’Amérique (ILCEA EA 613) Université Stendhal Grenoble 3-Région Rhône Alpes-ARC 7 et 8   Le IIè Colloque International « Les cicatrices dans l’Histoire : frontières, site migrations et déplacements », Grenoble, 27, 28 et 29 mars 2013, s’inscrit dans la continuité des travaux menés lors du colloque organisé en Colombie par l’Institut de Développement Pédagogique (Bogota, 21-23 septembre 2011) sur cette même problématique et qui a compté avec la participation d’une quarantaine de chercheurs. De nos jours, les migrants et les déplacés, victimes de conflits internes et/ou régionaux, sont devenus un problème pour les Etats et dans un monde « globalisé » et « ouvert » (qui redéfinit et redessine à son tour les frontières), des restrictions de plus en plus nombreuses sont imposées à la mobilité, à l’emploi, à l’accès aux services basiques et aux droits fondamentaux de ces populations. Les Etats construisent des « murs » physiques et des frontières de toute sorte. D’autre part, on assiste à d’importants exodes de population fuyant la violence ou recherchant une vie meilleure. Migrations et frontières sont devenues un enjeu politique et sociétal. Ainsi que l’énonce la maxime, « la violence est l’accoucheuse de l’histoire », une violence dont, de fait, les territoires, mais aussi les groupes ethniques et sociaux portent les stigmates qui, telles des cicatrices, impriment leur marque sur les relations politiques et sociales, et dont certaines pratiques culturelles peuvent manifester la trace, notamment dans la représentation du passé. Les exemples de ces cicatrices abondent dans l’histoire du monde hispanique, du Moyen Âge à nos jours, depuis la création des États et l’établissement de nouvelles frontières — parfois vécues comme cicatrices territoriales rappelant que l’histoire (et les cartes) sont toujours écrites ou redistribuées par les vainqueurs —, jusqu’aux conflits sources de disruptions violentes ou douloureuses dans la vie de certaines communautés nationales, de groupes ethniques ou de segments sociaux, en passant par la mémoire souvent cuisante de certains processus historiques, d’enclavements idéologiques et culturels ou d’expériences douloureuses d’un passage physique ou figuré entre un « dedans » et un « dehors ». Néanmoins, les frontières, qu’elles soient territoriales, idéologiques, socio-culturelles ou anthropologiques, ne constituent pas uniquement des lieux de fracture ou de rupture indépassables. Matérielles ou symboliques, elles peuvent aussi devenir des espaces propices aux refondations, aux échanges, aux phénomènes de métissage et de migrations plus ou moins complexes, au dépassement de l’hétérogénéité. L’objectif de ce colloque international sera donc de réfléchir sur les conflits qui, autour des idées de frontière, de migration et de déplacement, ont marqué l’Espagne et l’Amérique latine du XVe au XXIe siècle. Ainsi, de l’histoire des relations internationales à l’histoire sociale et des idées, nous nous interrogerons sur ces lignes de conflit, sur leur inscription « dans la chair » des différentes disciplines abordées, ainsi que sur leurs conséquences durables ou sur la description de leurs effets. Le premier colloque organisé en Colombie était plus particulièrement centré sur la problématique des migrations et surtout des déplacements forcés de populations à l’époque contemporaine dans le monde hispanique, avec néanmoins quelques approches comparatistes. A Grenoble, l’objectif est d’interroger les concepts –frontière, migrations, transferts-, d’établir des typologies, et surtout de mener des analyses comparatives entre l’espace hispanique et d’autres espaces (anglo-saxon, germanique, slave, italien). Il s’agit également d’analyser les impacts politiques, économiques, sociaux, culturels et identitaires des modifications des frontières et des migrations, qu’elles soient forcées ou pas. Nous souhaitons des contributions portant aussi bien sur l’Europe que les Amériques (les analyses comparatives seraient appréciées) et dont la thématique s’inscrive dans l’un des axes suivants : AXES THÉMATIQUES : • Typologie des frontières (territoriales, politico-administratives, idéologiques, linguistiques, culturelles, visibles, invisibles) et processus de construction, reconstruction, déconstruction des frontières en Europe et aux Amériques. • Typologie des migrations et des déplacements (volontaires, forcés, économiques, politiques, etc) et enjeux sociétaux en Europe et aux Amériques. • Impacts des migrations et des déplacements sur les territoires (exode rural, phénomènes de métropolisation, déséquilibres territoriaux, etc). • Frontières, migrations, transferts culturels, constructions identitaires et mémorielles. • Représentations et imaginaires des frontières, des migrations et des déplacements. Date limite d’envoi des propositions de communication : 23 Novembre 2012 Propositions de communications : De 5 000 signes maximum, elles seront envoyées sous forme électronique à l’adresse suivante : Almudena.Delgado-Larios@u-grenoble3.fr Merci d’indiquer vos nom, prénom, statut, institution et coordonnées, ainsi qu’une brève notice bio-biobliographique. Les auteurs seront informés de l’acceptation ou du rejet de leur proposition au plus tard le 7 janvier 2013. Langues du colloque : espagnol et français Inscription : 50 euros COMITÉ D’ORGANISATION Almudena Delgado Larios- Professeur Almudena.Delgado-Larios@u-grenoble3.fr Camille Lacau Saint Guily, MCF camille_lsg@hotmail.com Véronique Jude, MCF, veronique.jude@u-grenoble3.fr

Almudena Delgado 3 diciembre, 2012 3 diciembre, 2012 desplazamientos, Europa y América, exilios, fronteras, identidades, memorias y representaciones, migraciones
Jornadas Fronteras en el mundo hispanico

En el marco de los trabajos del eje Civilizaciones Hispanicas relativos a Las relaciones internacionales en el mundo hispanico (relaciones politicas, click economicas, capsule sociales, culturales, artisticas), se ha celebrado la Jornada de Estudios sobre “Fronteras en el mundo hispanico”, el viernes 3 de febrero en Grenoble, Sala Jacques Cartier, con las siguientes conferencias:  Emilio SOLA (Université Alcalá de Henares, Espagne),  “Literatura de avisos e información: por una tipología de una literatura de la frontera”  Partiendo de una concepción de la frontera más cualitativa que la meramente geográfico-político-jurídica tradicional, se puede entender mejor las figuras de los viajeros, exiliados o refugiados, tornadizos o emigrados, administradores y espías y sus testimonios literarios de la realidad que vivieron y lograron narrar; una interesante literatura de la frontera que desde mi punto de vista constituye uno de los mayores legados del Siglo de Oro hispano. En un porcentaje altísimo, esos textos permanecieron inéditos durante mucho tiempo, siglos incluso. Tanto en conjunto, como en fragmentos particulares, de gran altura y belleza literaria. Ignacio RUIZ RODRIGUEZ (Universidad Rey Juan Carlos, Madrid, Espagne), Las ultimas exploraciones españolas en la América septentrional del Pacifico Resulta curioso analizar el origen directo de las exploraciones que realizara la Monarquía Hispánica, en la costa septentrional del Pacífico en la segunda mitad del siglo XVIII. Atrás quedaban las aisladas expediciones que se habían realizado en épocas pretéritas, algunas de ellas ya prácticamente en el olvido, a la búsqueda permanente del Paso del Noroeste. Con un vigor prácticamente en desuso, las importantes e inquietantes noticias de la posible presencia de los rusos en aquellas se convirtieron en el más firme elemento para la puesta en marcha de aquellas expediciones, y con ello la erección de nuevas e importantes localidades de frontera, confeccionándose y rediseñándose las cartas marinas y geográficas de un importante segmento del Continente Americano que todavía estaba por descubrir.  Francisco Javier RODRIGUEZ BARRANCO (Université  Alcalá de Henares, Espagne),  “Creación de una frontera literaria: Perspectivismo y contradicción en las “Cartas Marruecas” de José Cadalso”  ¿Para qué sirve la literatura? Y acaso pudiéramos responder con otra pregunta, al galaico modo: ¿Hemos de buscar una función a la literatura? Para contestar a lo cual hay casi tantas posibilidades como escritores, pero es evidente que dentro de la perspectiva positivista que caracterizó al siglo XVIII, a la literatura se le buscó un fin de utilidad pública. No de otro modo hemos de entender las Cartas marruecas, terminadas en 1774 por José Cadalso, que tomó como referentes las Cartas Persianas, Turcas o Chinas, de allende los Pirineos, escritas las primeras por Montesquieu en 1721; corresponden quizá las segundas a Cartas de un turco en París (1731) atribuidas a Poullain de Saint-Foix; y las chinescas quizá sean las de Jean Baptiste d’Argens (1739-1740) o las de Oliver Goldsmith (1760). Lo que verdaderamente interesa a los fines de este ensayo es que no se trata de un viajero extranjero opinando sobre los países que recorre, como hicieron los viajeros románticos, por ejemplo, sino que los autores recién mencionados se valen de unas fronteras políticas y culturales, para crear la ficción de un ciudadano oriental opinando sobre un país europeo. Con otras palabras, estamos asistiendo a una frontera inventada o a la creación de una frontera literaria, puesto que detrás de estos marroquís, persas, turcos o chinos se halla la voz del autor. Todo eso sin olvidar que ya de por sí el epistolar es un género fronterizo entre la narrativa y el ensayo.  Laura MASSIMINO AMORESANO (Centro Europeo para la Difusión de las Ciencias Sociales),  “Archivo de la Frontera. Una experiencia educativa basada en el empleo de fuentes primarias y TIC’S” El Archivo de la Frontera es una Comunidad Histórica Virtual cuyo objetivo es la difusión del patrimonio histórico y favorecer el acceso a las fuentes primarias por parte de profesores, investigadores y alumnos. En esta ponencia presentaremos la nueva versión del Archivo, incluidas las herramientas colaborativas que favorecen la investigación y el trabajo en el Aula, así como la experiencia educativa llevada a cabo con alumnos de la Universidad de Alcalá a través del Juego del Legajo, una metodología didáctica para la enseñanza de la historia mediante el empleo de fuentes primarias y TIC’S.

Almudena Delgado 3 febrero, 2012 14 febrero, 2012 América, cartografia, España, exploraciones, frontera literaria, fronteras, literatura de avisos, siglos XVI-XVIII
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